En 2015 tu étais présent sur le premier volume de Capo dei Capi. Qu’est-ce que ça a pu représenter pour toi ?
J’étais honoré et c’était une vraie opportunité pour moi d’être exposé à un niveau plus national. C’était aussi la première fois que je tournais dans un clip aussi produit avec du budget et des moyens.
Il y a quelques années, tu parlais de l'importance des Psy 4 De La Rime. Est-ce un groupe qui continue de t'inspirer ?
Plus tellement. C'est surtout une inspiration de jeunesse étant donné qu’on vient du même quartier à Marseille. C’était une fierté pour nous. Mais, finalement, ça n'a pas influencé la manière dont j'ai mené ma carrière par la suite et la musique que je fais aujourd'hui.
Avant de commencer ta carrière en solo, tu as été dans le groupe Lygne 26. Qu’est-ce que tu en as tiré comme leçons ?
Le partage, dans le bon comme dans le mauvais. Être dans un groupe, c’est aussi faire des concessions. Je compare souvent ça à une expérience en colocation où tu apprends autant sur toi que sur les autres. C’est un apprentissage de la vie.
                                            

© Fifou
En 2015, tu as aussi fait le choix de ne pas signer avec des labels. Pourquoi ?
Parce que j’avais une direction artistique bien définie dans ma tête et qu’il y avait des désaccords sur le sujet avec les labels qui m’ont approché à l’époque. Ils voulaient me placer sur des créneaux artistiques qui ne m’intéressaient pas. J’avais mes convictions et il était hors de question que je change mon univers.
Tu es aujourd’hui signé en label chez SPKTAQLR. Ta mentalité a évolué sur la question ?
 
            
         
            
        